01/ 03/2021 marque le debut du mois de la femme. Comme il est de coutume, le mois de mars c’est le mois durant lequel l’on célèbre la femme et les progres sur les questions de l’égalité des genres. Il n’est pas nécessaire de revenir sur l’historique de comment la femme a pu progressivement reduire l’ecart qui la separait de l’homme. On peut convenir sur le fait que c’est dans le travail que cette distance a pu être réduite.
Parlant de travail, la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala a commencé ses nouvelles fonctions en tant que directeur général de l’organisation mondiale du commerce. Ceci met fin à plusieurs mois de négociations qui étaient supposées déterminer qui devait occuper le poste. La situation est mieux détaillée dans l’article suivant A Black woman to be world’s top trade official for the first time first time | CGTN …

Ce qui est vrai est que, ce jour de son debut de function est encore plus symbolique du fait qu’il coincide avec le debut du mois de la femme. On peut de ce fait dire que les femmes ont fait de grands progrès. Il est indéniable que la marche vers la parité des genres va bon train. Les femmes sont en train de graver le sommet de la pyramide. Elles sont chefs d’entreprises, chefs de gouvernement, chefs de grandes organisations internationales, vice-présidents, premiers ministres. Le tableau est très prometteur pour les femmes modernes.
A côté de ces femmes qui font la une de l’actualité, il y a aussi celles que les Chroniques de la diaspora appellent les héroïnes dans l’ombre. Ce sont ces femmes dont on parle moins dans les journaux. Elles n’ont pas accès aux médias. Elles n’ont pas accès à internet. Certaines ont reçu l’éducation formelle, d’autres pas du tout. Toutes ont compris l’importance du travail. Elles participent dans l’économie informelle. Elles se sont lancées dans l’entrepreneuriat par nécessité. Certaines se lancent dans l’activité comme deuxième activité, la première ne couvrant que des bouts de mois. Les autres, par manque de qualifications professionnelles pour trouver un poste dans les entreprises privées ou dans la fonction publique, se lancent dans le commerce comme activités de base.
Et ces héros ne reçoivent pas les crédits qu’elles méritent. En effet, leurs activités font la différence dans la société. Elles nourrissent des familles, elles mettent les enfants sur les bancs de l’école et assurent les études universitaires de leur progéniture et par ricochet, sortent beaucoup de familles de la pauvreté.
Il serait cependant souhaitable que la société prête attention aux difficultés que ces femmes qui mènent des activités commerciales rencontrent. Le manque d’accès aux prêts financiers est un véritable handicap pour emmener leurs activités commerciales au niveau supérieur. L’esprit d’entreprises de ces héroïnes dans l’ombre serait suffisant pour mériter l’attention des officiels et pour leur accorder des ressources financières dont elles ont besoin… Sous d’autres cieux, les petites entreprises sont considérées comme les poumons de l’économie du fait qu’elles sont les créateurs d’emplois. Ceci dit, une société qui une multitude de femmes qui se lancent dans l’entreprise a en son sein l’élément nécessaire pour déclencher le développement économique.
Ce mois-ci, les Chroniques de la diaspora a voulu honorer ces héros dans l’ombre, très efficaces dans le développement de la société mais dont on parle moins. Bon début du mois de la femme a tous. Si vous voulez faire parti de notre monde n’oubliez pas de vous abonnez ci- dessous, c’est gratuit. Laissez aussi un commentaire a la fin de la page.
Pour vos besoin de produits cosmetiques, la compagnie Jabijou Cosmetique vous propose des produits de qualite a travers le lien que voici jabijoucosmetics.com